Quelles sont les données incluses dans la déclaration DADS-U, et à quelles personnes sont-elles destinées ?
Hello tout le monde, Je me demandais, quand on remplit la DADS-U, quelles infos précises on doit fournir ? Et concrètement, qui reçoit ces données après ? C'est pour mieux comprendre le circuit et voir si y'a des points de vigilance particuliers. Merci d'avance pour vos lumières !
Commentaires (11)
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Question peut-être bête, mais quand tu dis "infosprécises", tu penses à quoi exactement ? Genre, tu t'interroges sur les montants, les identifiants des salariés, ou plutôt le type de contrat ? Parce que la réponse varie pas mal selon ce qui te tracasse.
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En fait, je me demandais surtout si on devait détailler hyper finement les primes et les avantages, ou si une somme globale suffit. 🤔 Et aussi, savoir si les infos sur les mutuelles santé sont regardées de près. C'est surtout pour éviter des erreurs bêtes qui pourraient nous retomber dessus plus tard. 😅 Merci de m'aider à y voir plus clair! 🙏
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Pour les primes et avantages, faut détailler. Pas de somme globale. L'administration fiscale aime bien savoir ce qui est versé et pourquoi. Mutuelle santé, oui, ils regardent ça de près maintenant, surtout depuis la généralisation de la complémentaire santé. Faut bien faire attention aux codes que tu utilises pour déclarer, une erreur est vite arrivée et ça peut coincer.
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Demir31 a raison, le diable se cache dans les détails. C'est un peu comme débugger un code, une virgule mal placée et tout plante ! Plus sérieusement, pour la DADS-U, les infos sur les mutuelles sont scrutées, et les primes doivent être détaillées. Pas le choix, faut être précis pour éviter les soucis.
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Merci pour ces précisions. Effectivement, c'est un peu comme débugger, faut être méticuleux pour que ça compile sans erreur. Je vais potasser les codes alors.
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C'est vrai que la comparaison avec le débuggage est pertinente. Une erreur d'interprétation d'un code peut coûter cher, surtout avec les pénalités mentionnées. 58 euros par salarié, ça peut vite chiffrer, sans parler du 1,5 % du plafond mensuel de la sécu. Si on prend un plafond mensuel de, disons, 3 864 euros (chiffre 2024), ça fait potentiellement 57,96 euros par erreur et par mois, plafonné à 750 euros, certes, mais tout de même. L'histoire des pigistes, intermittents, etc., c'est aussi un point à ne pas négliger. Souvent, on se focalise sur les CDI classiques, mais ces populations nécessitent une attention particulière. Il faut bien s'assurer que le logiciel de paie qu'on utilise gère correctement ces cas spécifiques, sinon, c'est l'erreur assurée. L'identification précise de l'employeur et du salarié, comme mentionné dans les données, semble basique, mais je suis certaine qu'il y a des subtilités. Des erreurs dans le SIRET, le NIR (Numéro d'Inscription au Répertoire), ça arrive plus souvent qu'on ne le pense. Et concernant la conformité et l'exactitude des infos, c'est là où le rôle de data scientist prend tout son sens. On peut mettre en place des contrôles qualité automatisés pour détecter les incohérences dans les données avant même qu'elles ne soient transmises. Par exemple, vérifier que les montants déclarés correspondent aux grilles de salaire, ou que les codes utilisés pour les cotisations sont les bons en fonction du type de contrat. On a des outils pour ça, autant les utiliser! Ça éviterait bien des maux de tête. En tout cas merci pour ces infos, c'est toujours bon de se remettre les idées au clair sur ces sujets.
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Absolument, Manon, et tu touches un point hyper pertinent avec l'histoire des pigistes et intermittents. On a tellement tendance à se concentrer sur le "casstandard" qu'on oublie ces populations... Et là, c'est la porte ouverte aux erreurs, surtout si on n'a pas paramétré son logiciel de paie aux petits oignons. Ce serait bien de faire un audit interne régulièrement, juste pour s'assurer qu'on est toujours dans les clous. Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit !
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AdAstra a raison, un audit interne, c'est une super idée. 👍 On est tellement la tête dans le guidon parfois qu'on ne voit plus les petites erreurs qui s'accumulent. Un regard neuf, même de temps en temps, ça peut sauver des vies (enfin, surtout des finances !). 😅
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Complètement d'accord.
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Si je résume, on a déjà bien débroussaillé le sujet. On est passé des infos générales de la DADS-U à l'importance de détailler primes et avantages, sans oublier les mutuelles santé. 🤔 On a aussi souligné les risques d'erreurs, surtout avec les pigistes et intermittents, et l'intérêt d'un audit interne. Sans oublier la comparaison avec le débogage, toujours pertinente. 😎 Bref, faut être méticuleux pour éviter les pénalités. 💰
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Nemo99, ton résumé est nickel. 👍 On a bien fait le tour, et c'est vrai que l'analogie avec le débogage, ça parle à pas mal de monde ici, je pense. En rebondissant sur ce que disait Manon Lefèvre sur les outils de contrôle qualité automatisés, je me demande si certaines boîtes n'hésitent pas à investir là-dedans à cause du coût initial. Pourtant, si on prend en compte la pénalité de 58 euros par salarié en cas d'erreur (sans parler du 1,5 % du plafond mensuel!), le retour sur investissement pourrait être rapide, surtout pour les grosses structures. C'est un peu comme déployer un outil de linting sur un projet WordPress : au début, ça prend du temps à configurer, mais après, ça te sauve de pas mal de galères. Et pour compléter, je me demande si la complexité de la DADS-U (enfin, maintenant DSN pour la plupart, mais le principe reste) ne pousse pas certaines entreprises à externaliser complètement la gestion de la paie. C'est un choix qui peut se justifier, mais il faut bien choisir son prestataire, sinon, on déplace juste le problème. 🤔 Et même en externalisant, on reste responsable de la conformité des données, donc l'audit interne reste pertinent, comme le soulignait AdAstra. C'est un peu comme sous-traiter le développement d'un plugin : tu dois quand même vérifier la qualité du code avant de le mettre en prod! 💻
CreaZen
le 25 Mars 2025