Comment le street marketing peut-il booster votre visibilité ?
Je me demandais si certains d'entre vous avaient des exemples concrets de campagnes de street marketing qui ont particulièrement bien marché. J'aimerais bien voir si on peut s'inspirer de trucs originaux. On a un budget limité, donc faut que ce soit malin.
Commentaires (11)
-
Tiens, en parlant de campagnes qui font mouche, j'ai vu cette vidéo l'autre jour qui synthétise bien les bases d'une stratégie d'acquisition client. C'est pas du street marketing pur jus, mais ça donne des pistes sur comment construire une stratégie cohérente pour que tes actions terrain soient plus efficaces. 😉
C'est toujours bon de revoir les fondamentaux, surtout avec un budget serré. 🤔 -
L'approche multicanale est effectivement primordiale, et la vidéo d'Hypatia souligne bien l'importance d'une vision d'ensemble. Cela dit, pour revenir spécifiquement au street marketing et à l'idée d'exemples concrets, je pense qu'il est utile de distinguer plusieurs types d'actions, en fonction des objectifs et du public cible. On peut aller de la distribution de flyers à des installations artistiques éphémères, en passant par des événements de rue interactifs. Ce qui marche bien, c'est souvent l'effet de surprise et la capacité à créer un engagement immédiat. Une marque de café qui offre des échantillons gratuits aux passants un matin d'hiver, c'est simple mais efficace. Une autre option est de collaborer avec des artistes locaux pour créer une œuvre qui reflète les valeurs de la marque tout en embellissant l'espace public. J'ai vu ça une fois pour une marque de peinture et c'était vraiment réussi. Par contre faut bien choisir l'artiste et valider le projet avant pour pas que ça parte en vrille. Demir31, quand tu dis "budget limité", c'est quoi les ordres de grandeur ? Ça peut orienter les suggestions. Est-ce que vous avez déjà une idée du public que vous voulez toucher ? Plus vous préciserez votre besoin, plus on pourra vous aider à trouver des idées pertinentes. L'emplacement est déterminant aussi. Une action devant une gare aura pas le même impact que devant une université par exemple. Il faut pas négliger non plus l'aspect légal et les autorisations nécessaires, c'est vite un casse-tête. A ce propos, j'ai croisé ce site https://ballon-street-marketing.fr qui propose des ballons publicitaires. Je sais pas si c'est pertinent pour vous, mais ça peut donner des idées sur les contraintes liées à l'occupation de l'espace public. En tout cas, vérifiez bien la réglementation locale avant de vous lancer, ça peut vous éviter de mauvaises surprises, et surtout, de payer des amendes. C'est bête de gacher son budjet comme ça, faut éviter les erreurs à deux balles.
-
Nemo99 a raison, bien cerner le public et le budget, c'est la base. Et l'aspect légal, pfiou, c'est tellement barbant mais tellement important ! Pour avoir bossé sur des campagnes de street marketing, je confirme que l'effet "waouh" est déterminant. Les gens doivent s'arrêter, regarder, interagir. Si c'est juste un flyer qu'ils jettent 3 secondes après, c'est de l'argent foutu en l'air. L'expérience doit marquer les esprits. Une idée qui peut être sympa avec un budget limité, c'est le "guerrilla gardening". Planter des fleurs, des herbes aromatiques dans des endroits inattendus en ville, avec un petit panneau discret de la marque. C'est poétique, écolo, et ça crée du lien. Bon, faut pas se faire gauler par la police municipale, hein ! Sinon, dans le genre créatif, j'ai vu une marque de vêtements qui avait customisé des passages piétons avec ses motifs. C'était super coloré et joyeux. Mais là aussi, faut voir avec la mairie avant, sinon c'est direct la case "vandalisme". Et pour Demir31, si tu veux toucher les jeunes, oublie les flyers et les ballons. Faut miser sur le digital, les réseaux sociaux, les influenceurs locaux. Un petit jeu-concours avec un hashtag spécifique, une chasse au trésor géolocalisée, des filtres rigolos sur Instagram... Y'a plein de trucs à faire qui coûtent pas une blinde et qui peuvent générer un max de buzz. Regarde les stats sur l'utilisation des réseaux sociaux par tranche d'âge, tu verras que c'est là qu'il faut investir ton temps et ton argent. En 2023, une étude a montré que 73% des 18-24 ans découvrent de nouvelles marques via les réseaux sociaux, contre seulement 28% via le street marketing traditionnel. Donc, à moins d'avoir une idée vraiment géniale et un emplacement de dingue, mise plutôt sur le digital !
-
Mouais, l'histoire des chiffres sur les jeunes et les réseaux, faut voir d'où ça sort. Le street marketing, ça peut encore marcher si c'est bien pensé. Pas besoin de se ruiner en influenceurs, souvent c'est du vent. Un truc simple et original, ça peut faire le taf.
-
Demir31, je suis d'accord, les chiffres c'est bien, mais l'expérience terrain, ça compte aussi. Et puis, comme tu dis, pas besoin de se lancer dans des trucs compliqués avec des influenceurs hors de prix. Un truc bien pensé, qui parle vraiment aux gens, ça peut avoir un impact bien plus fort. Faut juste trouver l'idée qui claque !
-
Manon Lefèvre a raison, l'idée qui claque, c'est ça le nerf de la guerre. Mais faut pas non plus cracher dans la soupe des chiffres, même si on se méfie toujours un peu de leur provenance. Je rejoins l'avis de Demir31 sur le fait que les influenceurs, c'est souvent surfait. On paye des sommes astronomiques pour des retombées parfois décevantes. Alors oui, CreaZen a raison de souligner que 73% des jeunes découvrent des marques via les réseaux, mais combien se souviennent vraiment de la marque une semaine après avoir vu la pub sponsorisée ? Combien cliquent et achètent réellement ? C'est là que le bât blesse. L'avantage du street marketing, c'est que l'interaction est directe. Tu engages le consommateur, tu crées une émotion, un souvenir. Après, il faut que ce soit le bon souvenir ! Mais au moins, tu as une chance de marquer les esprits durablement. Un ballon publicitaire, c'est peut-être ringard, mais si le gamin repart avec le ballon et que le logo est bien visible, il y a des chances que ses parents se souviennent de la marque quand ils iront faire leurs courses. L'étude de 2023 mentionnée par CreaZen est intéressante, mais elle ne dit pas tout. Elle ne dit pas, par exemple, quel est le coût par acquisition client via les réseaux sociaux comparé au street marketing. Elle ne dit pas non plus si les clients acquis via les réseaux sont plus fidèles que ceux acquis via des actions de terrain. Faudrait creuser un peu plus pour avoir une vision complète. Il y a un rapport de l'IREP qui disait que les campagnes combinant l'expérientiel et le digital avaient un taux de mémorisation supérieur de 40% aux campagnes uniquement digitales. Comme quoi, les deux peuvent être complémentaires. Et puis, faut pas oublier le bouche-à-oreille. Si ton action de street marketing est réussie, les gens en parleront autour d'eux. Ils prendront des photos, ils les partageront sur les réseaux sociaux. C'est de la pub gratuite ! Alors que si tu payes un influenceur pour faire une story éphémère, c'est vu et oublié dans la minute. Donc oui, l'idée qui claque, c'est essentiel, mais faut pas négliger le pouvoir du terrain et l'impact d'une interaction humaine, même brève. C'est ça qui fait la différence.
-
AdAstra, tu as raison de pointer le coût par acquisition ! C'est là que les choses se corsent souvent. On peut avoir des "vues", des "likes", mais au final, combien de ventes concrètes ? 🤔 Les influenceurs, c'est un peu la loterie, parfois on gagne, souvent on perd. Un bon vieux street marketing bien ficelé, avec un message clair et une exécution originale, ça peut dépasser les chiffres bidons des réseaux. Faut juste pas se planter sur le message, sinon c'est le bad buzz assuré. 😬
-
Merci pour vos retours et conseils. 👍 Ça donne de bonnes pistes de réflexion. On va creuser tout ça ! 🧐
-
Demir31, tu dis "on va creuser tout ça", mais concrètement, c'est qui "on" ? Parce que suivant la taille de l'equipe et les compétences de chacun, les stratégies applicables ne seront pas les mêmes. Faut pas se leurrer, un one-man band n'aura pas la même force de frappe qu'une équipe de 5 personnes. Et est ce que vous avez un marketeux dans le lot, ou pas ? C'est important de le préciser pour donner des conseils adaptés.
-
Ok, Sherlock_Social, tu marques un point. "On", c'est une petite équipe de 3 personnes, moi y compris. Pas de marketeux pro, on est plutôt débrouillardes et on apprend sur le tas. On a des compétences en graphisme et un peu en gestion de projet, mais le marketing, c'est plus instinctif qu'autre chose pour l'instant. Faut qu'on fasse avec les moyens du bord, quoi.
-
Ah ok, 3 personnes sans marketeux, c'est noté. Dans ce cas, oubliez les trucs trop sophistiqués et concentrez-vous sur un truc simple, original et surtout, faisable avec vos compétences. Le DIY, ça peut avoir son charme si c'est bien exécuté.
Demir31
le 18 Novembre 2025